8h05 arrivé au paddock, je retrouve Thomas et Gaël suivis par Lucky. On commence à se préparer, quelques petites vannes afin de détendre l’atmosphère et pour finir la Dream Team, Vincent arrive le timing est respecté.
Un petit débriefing, Vincent et Lucky nous préviennent que sur la praire il y a des clôtures alors on part tous sur la réserve sous un léger brouillard et des petites virgules se dessinent derrière chaque roue afin de vérifier l’adhérence.
Après 3 minutes de roulage nous voilà au pied de la montée infernal Vincent nous ouvre la voie, nous avons tous respecté sa technique de franchissement. Pas un seul n’est parvenu en haut sans aller à la faute. Les 5 au même endroit 6 m avant le 180°.
Nous voilà tous au sommet Vincent me fait remarquer cette vue magnifique « un grand romantique ce Vincent…. ». Le rythme s’accélère dans les chemins glissants en herbe tout le monde à bien chaud.
On rentre dans le repère des sangliers Vincent poignet dans le coin suivi par Lucky qui décide de stopper afin d’attendre Thomas qui arrive avec ses bottes pleine d’eau et Gaël qui se demande ce qu’il fait ici….. On sort tous assez facilement de cette coulée bien technique nous voilà dans le repère de Lucky il me demande :
- Georges tu veux l’essayer ?
-Essayer quoi et où ?
-la marche celle-ci !!!
- Mais Luc ce n’est pas une marche mais un mur…..
On commence tous à jardiner dans cette Zone sympa de franchissement, me voilà stoppé net contre un arbre je décide de grimper une triple grimpette que thomas à aménager avec une petite marche sur la première
-Une pierre ne sera pas de trop pour passer cette difficulté
Vincent répond- tu ne veux pas des enrobés !!!!! Bon me voilà parti et j’ai fini enroulé autour de l’arbre comme une grosse merde. Devant quatre spectateurs morts de rire….
On repart dans les coulées et nous voilà en plein milieu d’une chasse à courre. Vincent discute avec le chasseur afin de connaître la zone à éviter pour ne pas se faire plomber on va vite sortir de cette zone de chasse et nous voilà au pied d’une belle grimpette avec des ornières et avec un spectateur en gilet jaune au milieu de la cote. Vincent, Lucky, et moi arrivons au sommet et regardons Thomas qui tombe au pied du mec qui reste comme une statue sans bouger, un moment de solitude pour thomas. Après deux heures de bécane dans le rouge Gaël jardine à côté des chasseurs pendant 5 minutes. Bon une pose s’impose au bar du Cellier ça fera 10 cafés et un Cognac bien mérité !!!
La suite du CR je le laisse à un autre….
Jojo
Jusque là rien à redire! mais on va faire plus court car là il n'est que 10h30 et on est rentré à 15h30 Bref c'est repartis en contournant les chassous qui ont sûrement choppé le cochon au bruit des chiens après trois coup de fusils. Bref passons et c'est repartis vers la nouvelle zone digne de la GB dans les coteaux bien glissant ou aucunes traces n'existent, totale découverte pour tous, même lucky se gourre de trajectoire et fait goûter le barbelé à George.
Bien sympa cette petite portion qui n'était traversée que par les sanglier jusqu'ici. Enfin on retrouve notre parcours habituel et c'est pour moi une nouvelle grimpette dans les cailloux qui foire encore, me voila étalé à plat ventre sur la brêle avec le guidon dans le haut de la cuisse , ça douille un peu.
mais là aussi tous on eu le droit de la refaire deux voir trois ou quatre fois pour Thomas. Gaël toujours dans le rouge a montera en partie à pied il se demande toujours ce qu'il fait là !
Direction une autre vallée et là c'est mon quart d'heure de pilotage ou plutôt de non maîtrise totale
De quoi faire se bidonner les quatre loustic qui me suivent à l'arrêt car je fais une pose tout les vingt mètre avec la moto qui ne va du tout ou je veux.
La raison je finis par la trouver la vitesse ne reste pas enclenché car le sélecteur desserré ne remplis plus du tout son office. Changement de la pièce et c'est repartis.
Il n'y a pas que moi qui se taule mais la palme c'est George qui va nous l'offrir une fois de plus en se rendant compte trop tard que dans un fossé il a la jambes trop courte pour s'appuyer et c'est la gamelle encore comme une grosse merde ( c'est de lui ) dans un lit de feuille bien épais. Thomas et moi somme plié en deux à le regardé ramer dans les feuilles sous la moto.
La suite pour Gaël car il est le digne méritant de cette fin de rando
Vincent
ouai bin la gros bras nouvelle mouture,ils on pas faits dans a dentelle
les gamelles des collègues je n'en est pas vu beaucoup,vue que j’étais bon dernier a 500 m,donc lorsque j'arrivais ils étaient déjà relevé et prés a repartir,le seul indice: l'hilarité des témoins.
j'ai quant même pus assister a quelques figures de style de notre ouvreur qui se fais sortir d'un sentier par une branche qui a traverser sans prévenir et de George qui c'est enrouler autour d'un arbre avec qui il avait une affection toute particulière (enfin c'est se qu'il ma semblé voir)
les zones se succède(désolé les noms,moi pas connaitre).
des descente,les deux roues bloquées(en se disant pourvue qu'il ne faille pas les remonter).
des flaques d'eau,plein de cailloux pour pas dire des rochers.
des "grimpettes" si on peux appeler ça comme çà.
des petits sentiers ou même les chèvres serrerais les fesses.
des tronc d'arbres coucher dans tous les sens.(je pense qu'ils pourraient ranger mieux que ça les arbres qui tombent dans leurs bois,c'est quand même un peux le bord...)
et de temps a autre un peux de roulant pour nous remettre dans le orange la moto et moi.(j'ai chopé des crampes a des muscles que je ne soupçonnais même pas l’existence)
enfin bref,60 bornes en 6h cela vous donne la moyenne
la meilleur gros bras qu'ils disent,moi je ne suis pas prés de l'oublier(j’étais pas prés....physiquement et mentalement,je me suis fais violence pour ne pas jeter la moto au fond 'un ruisseau et rentrée a pied)
Gael le courbaturé
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